D’un côté des gentils, de l’autre des méchants, et à la fin ben ils se tapent tous dessus. Séquelle opportuniste, à la réalisation grossière et au ton schizophrène (en dépit d’une violence cartoon et de running gags scatos, on nous y répète en permanence qu’on n’est « pas dans un comics, mais dans la réalité » – sic), Kick-Ass 2 n’est même pas sauvé par la performance simiesque d’un Jim Carrey qui a bien fait de désavouer le film. Son personnage représente même le summum du courant d’évangélisation chelou qui a clairsemé bon nombre de blockbusters américains de l’été.
KICK-ASS 2 de Jeff Wadlow
Posted on