ROBIN DES BOIS, LA VERITABLE HISTOIRE de Anthony Marciano

Face à cette intolérable potacherie regardée en six fois (parce que si tu abandonnes avant la fin, c’est le film qui gagne), l’éternelle question : est-ce de l’aigreur due au vieillissement ou est-ce que le niveau artistique d’aujourd’hui est OBJECTIVEMENT plus bas que jamais ? Je veux bien envisager la première réponse, mais dans ce cas, pourquoi une étude attentive du regard de Max Boublil quand il sort une vanne me renvoie-t-elle à la terreur qui m’étreint lorsque j’essaie de rationaliser l’étendue du vide sidéral ?