Etrange cas dans la comédie française de la seconde moitié des années 2010 que celui de Thomas Solivérès, sorte de Kev Adams pour vieux, jeune pousse comique à grimaces servant de punching-ball pour réalisateurs et acteurs de la génération X. Hihihi les textos, ahahah Facebook, uhuhuh post-adolescence ingrate qui doit fermer sa gueule : fuis, Thomas. Je n’en suis pas totalement sûr, mais j’ai l’impression que tu vaux mieux que ça. Demande donc l’asile politique à Dupieux ou, au pire, à Nakache et Toledano.
SALES GOSSES de Frédéric Quiring
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