Personne ne cherchait le chaînon manquant entre les séries Dead Landes, The Leftovers et la saga Divergente, et c’est pourtant ce que propose le dernier film de David Moreau, grand spécialiste des menaces invisibles insidieuses comme les enfants roumains de Ils et la goujaterie de Pierre Niney dans 20 ans d’écart. Faute de partis pris suffisamment convaincus, cette adaptation de bande dessinée rejoint la petite cohorte des films à la 3615 Code Père Noël, trop sombre pour son public cible, beaucoup trop juvénile pour ne serait-ce qu’effleurer quiconque au-delà de dix ans.
SEULS de David Moreau
Posted on