Dans ses quelques scènes épiques, ce succès “surprise“ du box-office hongkongais rappelle les meilleurs moments de son modèle de 1991, comme les heures les plus démentes du cinéma d’exploitation érotique des années 90. Mais comme dans toute production olé olé qui se respecte, l’attention retombe fâcheusement entre lesdites scènes. Ce n’est pas l’érotomanie qui parle : de flamboyante et relativement inspirée, la réalisation devient subitement plate et bêtement austère. Les acteurs masculins ont beau cabotiner comme des cochons en rut pendant que leurs partenaires féminines minaudent avec charme, on s’emmerde sec devant l’intrigue débile de « The First 3D Erotic Movie ».
SEX & ZEN 3D de Christopher Sun Lap Key
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