Les transversales cinématographiques ont leur raison que la raison ignore. Là aussi, nous sommes face à un produit calibré autour de ses scènes choc, en l’occurrence ici du breakdance prostitué, jeté en pâture à d’atroces bouillies FM dubstep-friendly et à des chorégraphes en mauvaise descente de MDMA. Moose, le vrai héros de cette saga (le seul à avoir accepté de tourner dans quatre volets, en tout cas), atteint des sommets d’inconsistance. Non mais je veux dire, abandonner la battle à cause d’un quiproquo tout pourri avec sa meuf avant de revenir au dernier moment pour la finale, c’est so eighties. Va donc te couper les cheveux, tocard.
SEXY DANCE 5 – ALL IN VEGAS de Trish Sie
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