A la fin de ce rebut de vidéoclub où Steven Seagal pète la gueule à des enfoirés d’islamistes puis à des gros bâtards aux commandes d’un réseau pédophile, l’actrice principale, jeune première roumaine de 27 ans, ne se tient plus et se déshabille devant un Steven zen, silencieusement approbateur du haut de ses 62 automnes. Là, tout de suite, à la mi-novembre, à moins d’une surprise venue d’on ne sait trop où, on peut dire qu’on tient la scène la plus dérangeante de l’année.
A GOOD MAN de Keoni Waxman
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