Dans l’absolu, le film atteint un tel degré de dénuement dans le fil monotone de son déroulé qu’on peut lui trouver à peu près n’importe quel sens. Survival post Donald Trump? Voyage intérieur d’une légende en pleine errance? Film d’horreur sans effets spéciaux? Anneau de Moebius enroulé autour de la futilité de l’existence? Mais oui, tout ça et bien plus encore, rendez-vous dans la colonne critique de votre agrégateur préféré pour le grand bingo des superlatifs spécial surinterprétation.
THE END de Guillaume Nicloux
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