Le réalisateur a eu une vision assez marrante : deux planètes jumelles, liées entre elles par des gravités inversées, avec un monde « d’en haut » et un monde « d’en bas » (MESSAGE). Ensuite, il y a greffé une histoire d’amour très arc-en-ciels et petits poneys dans l’esprit, entre des personnages des deux mondes prénommés Adam et Eden (MESSAGE). Ensuite, il a tartiné une direction artistique pas possible, à faire passer les représentations de l’au-delà dans Lovely Bones pour de l’épure bergmanienne (… message ?). Enfin, il a enrobé le tout d’une bande-son qui envoie les violons comme d’autres des panzer divisions. De fait, Upside Down ressemble au trip de LSD d’un enfant de huit ans.
UPSIDE DOWN de Juan Solanas
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