Tourné avec un dédain manifeste par un type dont le plus haut fait d’arme reste d’avoir torché Transmorphers 2 pour les escrocs de chez The Asylum, interprété par des jean-foutre dont la flemme évidente les rend peut-être encore plus antipathiques que leur personnage, rythmé avec une incompétence qui frôlerait presque le respect, Avalanche de requins ne serait qu’un sous-produit d’une tristesse infinie si les doubleurs français et les responsables (aux sens pénal et figuré) des effets spéciaux ne donnaient l’impression de s’être franchement marrés. L’espoir, toujours.
AVALANCHE DE REQUINS de Scott Wheeler
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