HORNS de Alexandre Aja

Il aurait fallu dire au fiston d’Alexandre Arcady que 1/ la progéniture de Stephen King, dont le premier roman est ici adapté, n’a pas forcément eu l’hérédité talentueuse 2/ Daniel Radcliffe est encore à mille lieux d’avoir les épaules pour un rôle aussi complexe 3/ cantonner la meilleure idée de l’intrigue (la sincérité agressive des interlocuteurs du héros) à un simple gimmick s’avère franchement frustrant sur la longueur 4/ personne n’a plus le droit d’utiliser Where is my mind ? Des Pixies dans un film depuis Fight Club.