Parfois, un fait divers peut donner naissance à une œuvre forte, à même de dépasser le micro événement et d’acquérir une portée si ce n’est universelle, du moins pertinente. Plus souvent, la mention « inspirée de faits réels » est le cache-sexe de produits uniformément gris (la couleur de la réalité, apparemment), avec des acteurs en sousrégime, du champ / contrechamp comme s’il en pleuvait et une fin… ouverte ? Soit l’excuse rêvée pour ne surtout pas faire de cinéma.
TRUE STORY de Rupert Goold
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