Aussi caricatural dans sa représentation des « petites gens » que dans son portrait des nantis, cet énième drame bourgeois d’un Woody Allen de plus en plus refermé sur ses vieilles formules mériterait vingt-deux visions que pour la performance hypnotique d’une Cate Blanchett au sommet de son jeu. Si elle ne gagne pas l’Oscar de la meilleure actrice le mois prochain, c’est que toute l’Académie a couché avec Sandra Bullock.
BLUE JASMINE de Woody Allen
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