Tout dépend du degré d’empathie pour un glandeur sans réel talent en dehors d’une observation plus ou moins romancée d’évidences consternantes à la longue. Orelsan se vautre dans son plus gros défaut – l’effondrement dans la longueur.
COMMENT C’EST LOIN de Christophe Offenstein et Orelsan
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