Tourné un an avant Scream 4, ce slasher semble pourtant dater des années 90, douce époque où le nom de Wes Craven voulait encore un tant soit peu dire quelque chose, où le lamentable Un vampire à Brooklyn pouvait encore passer pour un malheureux accident de parcours. Triste spectacle que celui de l’homme qui court péniblement, essoufflé, derrière son dernier succès public (Scream) sans jamais comprendre ce qui fit sa réussite. My soul to take est un film de tocard, au sens où l’entendait le proviseur Strickland dans Retour vers le Futur.
MY SOUL TO TAKE de Wes Craven
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