Le plus navrant dans l’affaire, c’est que chaque scène transpire de la vista désespérément à l’ouest de Mihaileanu, de son sentiment qu’il est en train de réaliser le chef-d’œuvre qui fera de lui un cador, la crème de la crème, l’égal des plus grands truandeurs de récompenses internationales. Tu te mens à toi-même, Radu. Tu mens à ton public, au cinéma itself, au talent que d’aucuns ont cru deviner dans les ambitions un poil mieux canalisées de tes précédents films.
L’HISTOIRE DE L’AMOUR de Radu Mihaileanu
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