Ce diptyque s’avère symptomatique de la filmographie de Kiyoshi Kurosawa – le premier opus est sans faillir l’un des meilleurs films de 2013, une auscultation des malaises de la société japonaise se hissant à la hauteur des meilleurs films de Sono Sion, et sa suite est, si ce n’est l’un des films les plus décevants de 2013, du moins une prolongation bien trop poussive des mêmes thèmes.
SHOKUZAI de Kiyoshi Kurosawa
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