Est-ce parce qu’il traite d’un sujet « sensible » qu’un film doit devenir de facto inattaquable ? Cette défense, développée par la réalisatrice Rose Bosch pour protéger son film La Rafle, se révèle une nouvelle fois caduque, voire contre-productive à la vision de cet objet fastidieux, caricatural et sans cesse retranché derrière la justesse de ses intentions, comme pour s’excuser de ne surtout pas faire de cinéma.
LA MARCHE de Nabil Ben Yadir
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